Les membres de l’ACCV, Ford, General Motors et Stellantis, exploitent des usines de montage de véhicules et de fabrication de pièces en Ontario, ainsi que des bureaux, des installations de recherche et des centres de distribution un peu partout au Canada. Ces constructeurs se sont fermement engagés à protéger l’environnement en fondant l’exploitation de leurs établissements sur des principes globaux et des pratiques exemplaires de respect de l’environnement.

Toutes les installations canadiennes disposent d’un système de gestion environnementale performant et ont obtenu la certification ISO 14001. Ils mettent en œuvre une vision intégrée de la performance environnementale qui s’applique dès le départ sur le choix des matériaux servant à la fabrication, puis sur leur utilisation, leurs applications et leur gestion dans l’ensemble du processus manufacturier. Les membres de l’ACCV se servent de systèmes sophistiqués pour évaluer et continuellement améliorer leur performance environnementale grâce à des indicateurs de rendement ciblant l’énergie, les émissions de gaz à effet de serre, la gestion de l’eau et la gestion des matières résiduelles.

Énergie et émissions de gaz à effet de serre

Les sociétés membres de l’ACCV connaissent un franc succès dans la réduction de l’empreinte carbone des opérations de fabrication et d’assemblage de véhicules grâce aux objectifs qu’elles se sont fixés pour diminuer la consommation d’énergie et les émissions de gaz à effet de serre (GES) de leurs installations.

La gestion de l’eau

Les entreprises ont adopté des principes et élaboré des stratégies pour assurer la gestion durale du cycle d’utilisation de l’eau et l’optimisation des processus de traitement des eaux usées.

La gestion des matières et des déchets

Les sociétés membres parviennent à réduire les caractéristiques potentiellement dangereuses des déchets issus de la fabrication automobile, rendant ainsi les sous-produits de l’industrie plus attrayants et utiles. Elles ont également établi des objectifs et défini des plans visant à réduire la quantité de déchets destinés aux sites d’enfouissement. Les matières ne pouvant être réutilisées sont généralement recyclées. Quant aux déchets produits qui sont non recyclables, ils sont éliminés grâce à des technologies qui minimisent leur incidence sur l’environnement. L’expédition de matières jetables vers les sites d’enfouissement n’a lieu qu’en dernier recours. En conséquence, de nombreuses installations ont atteint l’objectif zéro déchet ou s’apprêtent à le faire.